La folle résurrection de Nietzsche !
Qui se souvient de cet olibrius souffreteux, de ce moustachu fiévreux, adossé à ses rodomontades comme s'il s'agissait de béquilles, sanctifié depuis des lustres par nos "élites" autoproclamées, comme par ceux qui s'emmerdent dans les dîners en ville, et qui avait, excusez du peu, déclaré la "mort de Dieu", avant ou après, peu importe, s'être présenté devant le cortège des empressés d'en finir, comme "l'antéchrist" ! Pour "finir" misérablement sur un quai de gare, éructant, haranguant des foules imaginaires, "possédé" par Dionysos, pathétique remake de ces antiques orgies où les bacchantes étaient "chevauchées", envahies, par ce dieu étrange, paradoxal en diable, personnifiant, pour peu que l'on s'y attarde, l'émergence du "moi" ! ... A suivre ! ...